Autochrome de la Première Guerre mondiale
[Autochrome de la collection conservée à l’ECPAD]
[Autochrome de la collection conservée à l’ECPAD]
Les régiments coloniaux furent constitués de 175.000 Algériens (35.000 tués ou disparus), 40.000 Marocains (12.000 tués ou disparus), 80.000 Tunisiens (21.000 tués ou disparus), 180.000 Noirs Africains (25.000 tués ou disparus), 41.000 Malgaches (2.500 tués ou disparus), 49.000 Indochinois (1.600 tués ou disparus), soit 565.000 (97.100 tués ou disparus)
Colloque
« La Suisse au milieu de la guerre : 1914-1918 »
10-12 septembre 2014
Château de Penthes
18, chemin de l’Impératrice, 1292 Pregny
C’est dans la perspective du centenaire de l’ouverture de la Guerre de 1914 que le colloque sur la Suisse au cours de la Première Guerre mondiale s’organise, dans la ville particulièrement emblématique que représente Genève, lieu de création de la Croix Rouge et de la SDN.
Une trentaine de conférenciers, historiens reconnus, professeurs d’université de Suisse, de France et d’Allemagne participeront à ce cycle de conférences dont le but est non seulement de mettre en évidence les nombreux aspects inconnus de cette période, mais également de favoriser les recherches historiques sur Genève et sur la Suisse de cette époque.
Il a paru évident que ce colloque se dénotait d’autres manifestations similaires de par sa portée nationale, sa dimension symbolique et l’importance de son sujet pour que des institutions telle la Fondation des Suisses de l’étranger et la Société d’histoire de la Suisse romande la soutiennent au travers de leur crédit scientifique et moral et des moyens à leur disposition.
Références pour le colloque: http://www.infoclio.ch/fr/node/53562
[Autochrome de la collection conservée à l’ECPAD]par C. Vuilleumier
Avec Alexandre Vanautgaerden (dir. BGE), Alain Dufour (éditeur de la correspondance de Bèze), Pierre Flückiger (archiviste d’Etat)
Manifestation organisée à l’occasion de la parution du 14ème et dernier volume des Registres de la Compagnie des Pasteurs (1546-1619)
Jeudi 26 septembre à 18h15, BGE
par La Maison de l’Histoire
Du grand dortoir à la cellule contemporaine, du robinet d’eau dans la cour à la douche quotidienne, de la paillasse au matelas ignifugé, de la gamelle en fer blanc à la barquette operculée et du centre-ville à la périphérie, la prison a changé. À quel rythme ? Avec quelles considérations ? Et quelles intentions ? L’histoire des prisons de Lyon raconte à sa façon celle des prisons françaises.
Prisonniers de droit commun, toujours, et prisonniers politiques, parfois, ont hanté les prisons de Lyon : au Château Pierre Scize, les catholiques, puis les protestants ; aux Recluses, les victimes de la Terreur, au palais de Roanne, les victimes de la Terreur blanche ; dans les geôles de la prison Montluc, les Résistants, puis, moins rudement, les « collabos ». Aux prisons de Perrache, les Algériens combattants pour l’indépendance, puis les membres d’Action directe, puis encore les hommes du milieu lyonnais. Mais les prisons de Lyon furent surtout un lieu de captivité pour des dizaines de milliers d’auteurs de délits mineurs, dont la durée moyenne de séjour n’excéda pas deux mois. Certains y sont restés vingt ans…
par Bernard Bolze
parution septembre 2013
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