Nouvelle publication ! Politique et diplomatie à Genève au XVIIIème siècle
Voilà un livre qui était attendu ! On se réjouit de le lire…..
par C. Vuilleumier
Voilà un livre qui était attendu ! On se réjouit de le lire…..
par C. Vuilleumier
The Faculty of History and Art of the Ludwig-Maximilians-Universität München invites applications for a Professorship (W2) (6 years/tenure track) of Early Modern History, specialising in Western European History commencing as soon as possible. Prerequisites for this position are a university and a doctoral degree. With an excellent record in research and teaching to date, prospective candidates will have demonstrated the potential for an outstanding academic career.
Please submit your application comprising
to: Dekanin der Fakultät für Geschichts – und Kunstwissenschaften der Ludwig-Maximilians-Universität München, Geschwister-Scholl-Platz 1, 80539 München,
par Marie-Janine Calic
dekanat09@lmu.de
Cette maison strasbourgeoise, dont la construction remonte à 1427, présente les colombages les plus richement décorés de la ville. L’aspect définitif de ce bâtiment est fixé en 1589.
C’est le marchand de fromage Martin Braun qui fit bâtir cet édifice avec un rez-de-chaussée en pierre et des étages supérieurs en bois sculptés avec des fenêtres en cul-de-bouteille. Les sculptures des poutres représentent des scènes sacrées et profanes, notamment les quatre ages de la vie, la foi, l’espérance et la charité ainsi que les signes du zodiaques. Sur la façade apparaissent quelques personnages illustres tels César, Charlemagne, Hector ou Godefroid de Bouillon.
Ce mélange d’esthétisme, d’ésotérisme et de rappels historiques illustre bien la période de la Renaissance et procure au visiteur l’impression d’une époque révolue, un visiteur dont les cadres architecturaux sont bien souvent tellement plus austères et plus simples! Rationalité dirons certain, à l’égard de nos bâtiments modernes. Certes, mais que devient cette rationalité lorsque les cubes sans âmes qui sont proposés la plupart du temps se heurtent à des oppositions acharnées, entraînant des frais, des délais sans fins et des recours à d’improbables experts dont la caution se limite aux cadres normatifs des lois et de leurs règlements ?
par Christophe Vuilleumier
Dans le cadre du cycle de conférences Histoire vivante, la Maison de l’Histoire, en collaboration avec la RTS, reçoit Pierre Rosanvallon, professur au Collège de France, pour une conférence exceptionnelle sur le thème:
Jeudi 18 octobre 2012 – 18h30
Auditoire Charles Rouiller (Uni Dufour, U300). Entrée libre.
Pierre Rosanvallon a consacré sa recherche, depuis une vingtaine d’années, à la question de la démocratie et à la notion de peuple. La montée du populisme concerne aussi bien l’Europe que les États-Unis. Et Genève ne fait pas exception. Actuellement, deux mots se font face dans une tension palpable : celui de peuple et celui de populisme. On peut exalter le principe de souveraineté du peuple et exécrer le populisme. Comment comprendre ce paradoxe ? De quelle nature sont les liens qui unissent populisme et démocratie ?
Dans le cadre du cycle de conférences Histoire vivante, la Maison de l’histoire, en collaboration avec la RTS, anime chaque année trois rencontres autour de problématiques actuelles. Les préoccupations de notre société sont nombreuses, parfois angoissantes ou simplement intrigantes. Elles ne sont pas pour autant toujours nouvelles. Faire dialoguer, par la voix d’historiens de grande renommée, passé et présent, et ainsi mieux comprendre les spécificités de notre présent, tel est le but du cycle de conférence Histoire vivante de la Maison de l’histoire.
La Maison de l’histoire espère ainsi contribuer à partager le fruit de la recherche historique avec toute personne intéressée et à renforcer le lien entre Cité et université.
par Daniel Barbu
En parcourant les routes, l’observateur attentif trouve parfois des indications routières datant d’un autre temps. On connaît les bornes en pierre signalant les distances à tel ou tel lieu. Il en est d’autres, abandonnées depuis longtemps, parfois amusantes et bien souvent fort enseignantes si l’on tente de les décrypter !
Stèle routière sur la Route suisse vers Aubonne (photo de l’auteur)
par C. Vuilleumier
L’amphithéâtre de Heidelberg, une élévation aztèque sur un oppidum celte !
Construit entre 1933 et 1934 et sans doute fait pour durer mille ans, l’amphithéâtre de Heidelberg fut officiellement inauguré en grandes pompes le 22 juin 1935 par le ministre de la propagande Joseph Goebels. Il accueilli jusqu’à 20’000 visiteurs et fut utilisé à de nombreuses reprises pour des évènements gouvernementaux !
Nous connaissons les effets que le national-socialisme a produit, mais ne faut-il pas se poser la question du poids de son héritage, et plus particulièrement de son héritage matériel, pour la société allemande contemporaine?
par C. Vuilleumier
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